La loi, la force, la violence...

Sommaire :

Information concertation éolien.

Avant qu'il ne soit trop tard...

Mézard, roi du silence ?

Chambre d'agriculture : on ne change pas une équipe qui enfume.

Billet d'humeur en jaune. 

L'Union européenne comment ça marche. 

Le Laguiole dans la poche, terroriste en puissance ? 

Mauvaise foi des élus qui n'"augmentent" pas les impôts.  

Cliquez pour agrandir. Excellente inspiration pour l'auteur de cette affiche. Même si les goûts et les couleurs ne se discutent pas, on ne peut pas dire que nos marchands d'éolien embellissent les paysages et surtout ils font payer aux clients d'EDF des taxes ahurissantes pour se remplir les poches. Nos élus locaux s'imaginent-ils que les électeurs ne savent pas ce qu'ils font en approuvant les parcs éoliens les yeux fermés.

Avant qu’il ne soit trop tard ...

du vent dans les voiles ou comment s’y prendre pour faire naître la colère dans le coeur des gens de la (pauvre) France périphérique. 

On n’en peut plus ici de ce mépris affiché à l’endroit des gens du pays profond qui, s’ils ont généralement renoncé à presque tout ce qui est couramment offert à ceux qui vivent dans les zones de progrès (métropoles) : transports, guichets publics, offres culturelles variées et, plus prosaïquement, l’indispensable travail qui permet à tout un chacun de se loger, de manger, de fonder une famille …. et n’en demeurent pas moins (jusqu’à preuve du contraire) des citoyens à part entière. 

L’un des sujets phares que nous proposent les élites revendiquées de la société néo-libérale qui tiennent le haut du pavé touche la soi-disant transition écologique, omniprésente, au coeur de toutes les réformes – enfin, ce qu’ils baptisent telles – dont nul n’est en droit de contester le bien-fondé. Ce qui favorise la soumission aux recettes miracles dont l’éolien se veut être un marqueur clé, qui apparaît maintenant de façon subliminale dans les messages, les reportages télévisés où circulent sous notre regard éberlué de grands aérogénérateurs, gages de modernité affirmée. 

Délire invasif qui malmène l’humanité que nous connaissons et aimons, nie nos besoins les plus élémentaires liés à la qualité de l’air, à la répulsion à l’égard du bruit, aux contraintes financières immodérées et non discutées. De la sorte, ce sont nos conditions de vie qui, mine de rien, changent et ont déjà grandement été modifiées. De nombreux témoins sont là pour en attester. C’est ce qu’on appelle aujourd’hui, du vécu. 

Pour lutter contre cet état de fait, un peu partout, ont surgi des associations qui se sont tout d’abord dépensées pour apporter au public les éléments de connaissance permettant une juste appréciation de la situation faite aux populations du pays profond. On veut parler là des Ploucs (avec majuscule, quand même) comme ils nous appellent communément. Ces Ploucs sont les vecteurs involontaires de cette « modernisation » à marche forcée, qui entraîne de facto une modification de l’évaluation du pacte social ; c’est à ce titre qu’ ils ont même gagné d’être le nouveau sujet de risée favori des intelligents et autres malins du modernisme éclairé. Passons …

Ici même, à Montsalvy, joli bourg de la Châtaigneraie dominant la vallée du Lot, là même où des populations ont fait le choix de vivre simplement mais à l’abri des agressions sus décrites, ce samedi 9 mars, les curieux pourront venir entendre ceux du Lévézou tout proche qui, malgré eux, doivent supporter depuis une dizaine d’années le saccage de leur petite région. Ne manquez pas ce rendez-vous. Il est grandement instructif de les entendre. Nul ne pourra plus dire qu’il ne savait pas.

J.C.M. 

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

Enfin, la paix dans le Cantal ???!!!

En entrant au Conseil constitutionnel (comme Alain Juppé, le repris de justice), Jacques Mézard doit quitter toute fonction élective et s’interdire tout commentaire sur la vie politique.

L'ex empereur de théâtre de rue condamné à jouer au roi du silence, chapeau Macron !!!

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

Chambre d’Agriculture :

on ne change pas une équipe qui enfume la Préfecture et ses murs, la DDT et ses murs, la DSV et ses murs…

21 502 inscrits, 8 335 votants. Participation : 38,76 % contre 43,5 % en 2013. Pour faire pire il faudra se lever de bonne heure mais, puisque Joël Piganiol, tête de liste de la FDSEA/JA, s’est réjoui de la mobilisation, on peut toujours espérer !

Les dirigeants actuels du monde agricole sont comme les politiques et de nombreux décideurs : ils n’inspirent plus confiance. Là comme ailleurs, la démocratie représentative est en crise.

Les élections ont cependant rendu un verdict. Les sortants de la FDSEA/JA l’emportent largement dans le principal collège (62,2% des votants chez les chefs d’exploitation). Ils pourront continuer la « modernisation des exploitations », entendez la destruction des petites exploitations familiales au profit des détenteurs de capitaux. Ils pourront continuer de batailler pour limiter les « contraintes écologiques », entendez retarder le plus longtemps possible la mise en place d’une agriculture redevenue durable.

Détail qui vous permettra d’apprécier la capacité de la profession agricole à inventer des systèmes uniques en France. Le vote, par courrier ou par internet, était étalé du 14 au 31 janvier avec un taux de participation consultable, bel outil de pression pour ceux qui avaient les moyens d’agir jusqu’au dernier moment.

B.B.

Cliquez pour agrandir. Avec un tiers des voix des inscrits dans le 1er collège, la FDSEA/JA va-t-elle continuer de dicter sa loi dans le Cantal ? (capture d'écran site de la Préfecture du Cantal)

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

Billet d’humeur en jaune (comme la bile)

Depuis le début du mouvement «Gilets Jaunes», on note à Aurillac (sur les ronds-points, dans les cabanes ou les réunions) l’énorme présence de femmes, de retraités, d’artisans ou de salariés à revenus modestes. Nombreux prennent part pour la première fois aux regroupements et y découvrent la fraternité… Au bout de quelques semaines, le mouvement aurillacois, se divise en deux blocs, qui semblent inconciliables et un nouveau rond point est investi. Partout on entend la défiance et partout le rejet des institutions, des journalistes, des «sachant», des gouvernants, des politiques, des syndicats, des organisations en place. Partout un ras le bol et une souffrance, qui restent inexplicables dans ce qui (vu des déserts en guerre à l’autre bout du monde), semble un pays de cocagne : la France.

Sommes-nous à la veille d’une révolution ? Comment la montagne accouchera-t-elle et de quoi ? Verra-t-on un bain de sang laver les rues, dans un déferlement de violence tel, que des citoyens déboussolés sortirons les fourches, les pelles et les pioches pour s’entretuer hardiment aux prétextes d’une déraison ou d’une autre ?

Nous en avons plusieurs signaux, comme l’interview donnée à une télé italienne, par un certain Christophe Chalençon (il faut taper «qui est Christophe Chalençon», sur un moteur de recherche, pour se faire une idée du personnage). L’homme se proclame porte parole « Gilets Jaunes » du Vaucluse. Il évoque son risque de mort violente par assassinat politique et dit connaitre des « paramilitaires », prêt à en découdre jusqu’au coup d’état… Il y a aussi «les casseurs» infiltrant les manifestations, se glissant au milieu des femmes et des enfants, pour se livrer à leurs jeux favoris de démolition. Que ce soit pour faire leurs courses à prix cassé (c’est le cas de le dire) ou pour d’autres, entrer dans un jeu politique vicieux de billard à trois, quatre, voire cinq bandes, pour renverser un gouvernement, qui n’a pas l’heur de leur plaire.

Il ne manque aujourd’hui pas grand-chose, pour transformer une majorité de braves gens oubliés des trois grâces (Economie, Statistique, Finance) et qui souffrent au quotidien, en une meute enragée, sacrificielle, incontrôlable. Il suffira d’un ou deux martyrs en plus. Il suffira de l’œil crevé ou de la main arrachée de trop et d’un coup, le sang des innocents innondera le pavé, car les coupables, les casseurs « professionnels », les manipulateurs et tous ceux qui appellent de leurs vœux la violence, sauront s’esquiver à temps. Or le sang et l’argent ont ceci de commun qu’ils s’appellent, demandent toujours plus et surenchérissent. 

Avant la taxe sur les carburants et le gouvernement « par ordonnances », qui semblent avoir allumé la mèche, le mal vient de loin. Différents présidents se sont succédés, supprimant tout un tas de compagnies de sécurité, d’agents de proximité, de fonctionnaires. Repassant aux régions, aux départements, aux communes, les charges de l’état au nom d’économies et surtout de résultats comptables, pour satisfaire « l’opinion » (ce concept foireux qui réduit les citoyens à la catégorie des couillons admirant ce qui brille).  Mais les jolis chiffres, la statistique dans le sens « du vent qui vente », les économies et la logique purement comptable, ne font pas tout, on le voit bien. Même si, souvent, sont ainsi évaluées et conduites, les politiques en charge de nos vies.

Emmanuel Macron, me fait penser à Louis XVI, qui ne fut pas le plus mauvais, ni le plus sanguinaire des rois. Ne voyant pas venir la vindicte initiée avant lui, il fut témoin jusqu’au 21 janvier 1793, à 10H22, place de la révolution, ancienne place Louis XV, devenue aujourd’hui, place de la Concorde (je vous laisse juge de l’évolution sémantique), d’évènements fâcheux à plus d’un titre. Emmanuel Macron se dit Jupiter, il est jeune, il est beau, intelligent, poli, il parle bien. La colère qu’il suscite est à la hauteur des espoirs qu’il a pu insuffler. Elle est à la hauteur de l’immense déception que sa politique engendre, car elle est dans la continuité de ce qui nous a menés là, en plus pernicieux (c’est un banquier et c’est aussi le ministre du gouvernement Hollande, qui laissa partir la division chaudière d’Alsthom, notre fleuron national, chez les américains de Général Electric, nous privant au passage de brevets mondiaux, dans un des rares domaines où nous étions les meilleurs). S’il a dirigé (par ordonnances et verticalement) la start-up nation, il réalise avec les gilets jaunes, qu’il lui est impossible de licencier des citoyens. Bousculé, le pouvoir pond des lois et des décrets de « circonstance ». Qu’en feront ses successeurs ? L’histoire souvent bégaye. On peut citer les grands anciens. Les regrettés Hitler, Staline, Mao, Franco, Pol Pot et tant d’autres. Tous gens de bien, ayant œuvré à l’écologie, en régulant l’essor des populations par la mise à mort de masse. Assisté par l’informatique et les réseaux « pseudos » sociaux, ils feront mieux encore. Dégager un rond point à la mitrailleuse, au lance-flamme ou aux drones, ne leur posera aucun problème. Ni de logistique, ni de morale, ni de lois.

Qu’est-ce qu’une révolution sinon un cercle ? Partant d’un point, cette figure géométrique y revient exactement après nous avoir fait tourner en rond (et souvent en bourrique), pour retrouver nos vieux démons baptisés autrement, mais toujours aussi malfaisants.

J’ai peine aujourd’hui à évaluer les chances d'un progrès, parce que d'un mouvement de protestation simple et focalisé (la taxe sur les carburants), on en est arrivé à une masse informe de demandes hétéroclites. Et la dérive en cours, avec l'intrusion d'éléments incontrôlables et d’escrocs opportunistes, risque de priver les "braves gens" d'une issue favorable. Dans ce contexte, les cahiers de doléances sont un point positif. Ils permettent de coucher sur le papier de vraies revendications, indépendamment du cirque de la rue, et donnent au gouvernement une chance d'y répondre favorablement, sans se laisser bloquer par les violences. En gros (comme ils disaient à Thiézac en 1789), « de ne pas perdre de vue la classe la plus oubliée quoique la plus nombreuse et il faut le dire la plus utile, (et) de faire en sorte que son sort soit à la fin des fins amélioré ». (Extrait des cahiers de doléances thiézacois, conservés aux archives)

 à suivre, Serge Menini

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

Cliquez pour agrandir. Les fonctionnaires de l'U.E. ont la réputation d'être bien payés. Le Président du Conseil de l'Union Européenne aura du mal à nous convaincre du contraire.

Les européennes arrivent, parlons en.

Rappel de base : depuis le début de la création de l’Europe, la France métropolitaine est en paix avec ses voisins immédiats… Cela dit, taper sur Bruxelles est un sport national, ruralement cantalien en particulier. Justifié ou pas ? Éléments de réponse.

Les institutions, comment ça marche ?

Le parlement européen.

Si les anglais font Brexit, 705 députés représenteront les 27 pays de l’Union Européenne. La France en comptera 79, les plus petits états en auront 6 chacun.

Les députés votent les dépenses, pas les recettes, ils n’ont pas le pouvoir de présenter des lois, des directives.

Le siège du parlement est à Strasbourg mais les commissions se réunissent à Bruxelles.

La Commission européenne.

Composée de 27 commissaires, un par pays, la Commission propose les lois au parlement et veille à leur application. Actuellement, Pierre Moscovici représente la France, il est chargé des affaires économiques. Les commissaires sont nommés par les gouvernements, comme des hauts fonctionnaires, ils ne sont pas élus.

Le Conseil de l’Union européenne.

Composé des ministres concernés sur un sujet (finances, agriculture, formation…) il se réunit à Bruxelles, prépare et adopte le budget avec le Parlement mais décide seul des recettes (en gros, un pourcentage du PIB de chaque pays). Double présidence :

1-Présidence tournante semestrielle : actuellement c’est la Roumanie qui préside. Viendront ensuite la Finlande, la Croatie et l’Allemagne.  La France présidera le 1er semestre 2022. Les décisions sont prises à la majorité simple (15 pays), à la majorité qualifiée (55% des membres représentants 65% de la population) à l’unanimité en fonction des sujets.

2-Élection, à la majorité qualifiée, d’un président pour 5 semestres, mandat renouvelable une fois. Actuellement Donald Tusk, polonais, assure la coordination entre les différentes institutions européennes. (voir indemnités ci-contre). 

Le Conseil européen.

Réunion de tous les chefs d’États et de gouvernements pour traiter des grands sujets ou des dossiers que le Conseil des ministres de l’Union européenne n’ont pas résolu.

%%%%%%%%%%%%%

Pour être précis il faudrait encore parler de l’Euro-groupe, lui-même indépendant de l’ensemble des institutions.

Cette organisation est unique au monde, c’est mentionné sur le site officiel de l’U.E.. Quand on découvre sa complexité, on comprend pourquoi personne n’a eu envie de la copier ! 

Pour faire fonctionner ses institutions l'U.E. ne compte pas plus de fonctionnaires que la ville de Paris et elle dépense 1,1% du PIB de l'Europe. 

Dans la prochaine mise à jour, présentation des circuits de financement et retombées de l’Union européenne pour le Cantal. Quand l’argent promis n’arrive pas, l’Union européenne n’est pas nécessairement responsable.

B.B.

   %%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

Planquez vos "Aurillac et vos "Laguiole".

Nous sommes bien en 2019. Les procureurs et les juges semblent considérer qu'avoir un couteau dans sa poche pour aller pique-niquer représente un danger pour la République et son Président certainement peu habitué à partager un saucisson avec les copains... Mauvais signe pour tous les auvergnats de base qui ne peuvent pas se séparer de leur couteau de poche !!!

Deuxième fait marquant d'un passage à Quimper : nos élus, au lieu d'aller prendre exemple à Bordeaux et d'installer des rondpoints bouchons feraient bien de monter là haut. Pratiquement aucune quille pour gêner la circulation automobile et le stationnement dans le centre ville. 

B.B.

Cliquez pour agrandir. Vu sur vla porte des WC dans le TGV Paris Brest... comment ne pas penser aux effets secondaires de la pâtisserie du même nom ?

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

VU dans le TGV.

Ci contre, le pannonceau plaqué sur la porte d'un TGV. Les hommes en bleu, les femmes en rose. Elles attendent le déluge les féministes pour demander à la SNCF de faire cesser cet abominable stéréotype sexiste ? 

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

La loi : la peur du gendarme

encore de mise ou pas ?

Un fournisseur refuse de respecter ses obligations en matière de garantie pour du mobilier. Téléphone, mails, courrier… rien n’y fait pendant six mois.

Le consommateur présente son dossier à l’UFC que choisir à Aurillac. Parfaitement renseigné, il expédie un courrier type en recommandé. Huit jours après, le fournisseur appelle, s’engage à remettre en état le mécanisme défectueux... et intervient effectivement dans les délais annoncés.

Les élites peuvent dire ce qu’elles veulent, aujourd’hui, sans rapport de force, force est de constater que force n’est plus à la loi… Motif  principal : l’État s’applique à disloquer les services chargés de protéger les consommateurs. Les effectifs de la DGCCRF, la « répression des fraudes » pour faire court, sont passés de 12 agents début des années 2000 à 6 aujourd’hui dans le Cantal.

Il parait que l’autocontrôle dans les entreprises devrait remplacer avantageusement les contrôles officiels.

Ira-t-on jusqu’à supprimer radars et gendarmes si les automobilistes s’engagent à pratiquer l’autocontrôle ?

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

La mauvaise foi des élus...

à propos des impôts locaux qui n'augmenteraient pas. 

Tous les ans la même rangaine : avec mon conseil j'ai décidé de ne pas augmenter les impôts... et quand le contribuable vérifie sa feuille il constate que l'élu raconte des balivernes. 

Exemple ci dessous avec le cas précis d'un propriétaire habitant de Saint-Simon. 80 euros de plus au total entre 2009 et 2018, mais affirmation de Monsieur le maire dans le bulletin municipal : "en 2018, le conseil municipal a pris la décision, comme depuis près de 10 ans, de ne pas augmenter les impôts".

Une telle affirmation est aussi mensongère que si l'insee annonçait que les prix n'ont pas augmenté sous prétexte que le taux de TVA n'a pas bougé...

 B.B.

Augmentation : 36 €

augmentation : 44 €

Commentaires

20.07 | 23:56

Du bon boulot de journaliste. J'applaudis des 2 mains ! Et j'en redemande.

26.03 | 18:58

Tellement vrai, bien vu. Merci

10.03 | 15:54

Heureusement il y a aussi une majorité de bonnes volontés même si notr...

09.03 | 12:23

Je découvre votre site, bravo j'arrive de la banlieue Parisienne, installé de...