Coucou, nous revoilou !
Nous revoilou ! Il était temps. C’est parfois oppressant le succès : passées les 500 000 visites en quatre ans sur le site de TESTU, il est parfaitement concevable que l’architecte en chef de cette performance ait désiré lever le pied pour retrouver un peu de sérénité (perdue).
S’arrêter définitivement, nous n’y pensions bien sûr pas. TESTU est devenu, mine de rien, ce petit moment de Liberté, qui permet à tous d’entendre la voix des silencieux, ceux qui ne se plaignent jamais, dont l’histoire n’est que rarement contée. Alors,nous avons décidé, en choeur, de relancer la machine et nous serons donc présents comme avant dès septembre.
De nouveaux talents vont émerger et nos correspondants, se remobiliser.
Encore bravo au talentueux Bernard BONHOURE, le véritable inventeur du blog dont j’ai accepté de devenir le coordinateur de l’équipe en place au sein de l’association AGIR . Une période de rodage s’ouvre. B.B. restera à nos côtés tout le temps du passage de relais. Aidez-nous donc à rendre la vie locale plus limpide, faites-nous part de vos suggestions. Longue vie à TESTU.
Jean-Claude MUET
Jeudi 9 août,
paysages en danger !!!
DES MÂTS COMME S'IL EN PLEUVAIT
Et, pour commencer et rattraper un peu du temps perdu, dans l’urgence, quelques nouvelles d’un dossier qui nous est cher, très cher : l’invasion programmée du département par les machines à vent qui détruisent nos paysages, installent la zizanie dans nos communes, spolient les contribuables et rançonnent les consommateurs d’électricité (taxe CSPE).
La résistance s’organise et ce ne sont pas moins de 18 associations qui ont vu le jour sur l’ensemble du département. Celles-ci viennent de constituer un collectif – le CASC : Collectif Anti-éolien pour la Sauvegarde du Cantal – qui organise au Puy Mary ce jeudi 9 août une grande manifestation d’information et de protestation.
Qui sait que dans la seule Châtaigneraie, ce ne sont pas moins de 150 projets de mâts qui sont subrepticement en cours avec l’aide appuyée de la nouvelle Communauté de Communes de la Châtaigneraie sous la houlette de son très entreprenant Président également maire de Parlan, Président du Syndicat de l’énergie du Cantal, Président sortant du CNJA, de la Chambre d’Agriculture du Cantal, Administrateur recalé du Crédit Agricole et j’en passe. Un gars qui avance au pas de charge, sait tout faire et n’a donc rien à expliquer, rien à justifier. Vos gueules les mouettes, circulez ! Cependant, on ne sera pas étonné d’apprendre qu’il commence à lasser son monde, dans sa commune même au point qu’il se dit avec délice dans la bouche de certains, que sûr de sa défaite à venir, il renoncerait à se présenter à Parlan aux prochaines municipales.
Il est effectivement recommandé aux passionnés des (fausses) énergies renouvelables, s’ils souhaitent se soumettre aux aléas du suffrage universel de ne pas manquer d’inscrire dans leur programme les plus beaux morceaux du rêve éolien et de les y développer. A ce seul titre, ils pourront légitimement parler. Avant (c’est à dire hier et aujourd’hui) ils ne pourront se manifester dans le sens du saccage paysager en cour, cela leur est bien légitimement interdit : respect de l’électeur et du citoyen.
Qui sait encore que le jeune Président de la FDSEA du Cantal, Joël PIGANIOL, vient de signer une promesse de bail avec un opérateur de l’éolien pour un ou plusieurs mâts sur la commune de LABESSERETTE ? Cela dit, il est tout de même étonnant que le 1er du syndicat « majoritaire » local prête la main à une telle opération de défaisance du tissu agricole cantalou. Des primes (déprime) et des jeux. Nous attendons un éventuel démenti.
Pour en revenir à nos moutons, les amateurs apprécieront. Au moment même où l’EDF n’entretient plus qu’avec parcimonie le capital énergie hydraulique, sur la Cère et la Dordogne notamment, le gouvernement, un des rares en europe, sous la pression des farfelus libéraux de la Commission de Bruxelles,se prépare à la grande braderie de nos barrages. Invraisemblable et pourtant vrai. Comme les autoroutes hier, les copains s’affairent comme on dit dans la finance. Le peuple français sera une fois encore spolié de ce qui pourtant lui appartient en propre.
Parlons donc du mic-mac venteux et ce qu’on en disait déjà ici hier. Voyons voir :
« Tant que la densité de l’air est égale partout, l’équilibre existe ; mais si l’air devient plus léger sur un point quelconque, un vide s’opère, et les couches plus denses se précipitent pour le remplir : telle paraît être la cause des vents. - Dans la Haute-Auvergne, l’élévation des montagnes produit des courants nombreux, dont la direction est déterminée par celle des vallées. Or, comme nos vallées s’ouvrent aux quatre points cardinaux, il s’en suit qu’il n’y existe pas de vents généraux ou dominants. C’est pourquoi l’on ne trouve dans le haut-pays aucun moulin à vent. Cette circonstance étonne les étrangers qui nous accusent de ne savoir ni utiliser les dons de la nature, ni profiter des bienfaits de Dieu. Nous sommes moins coupables cependant qu’il ne semble, et peut-être valons-nous mieux que notre réputation. C’est sans succès, il faut le dire,qu’on a essayé d’établir ici ce genre de meunerie. En effet un vent se déclare d’abord, qui met les roues en mouvement ; mais peu d’heures après, ce vent est contrarié par un autre, lequel non seulement paralyse l’effort du premier, mais agissant en sens inverse, tourmente la machine et finit par briser les tournants. »
Qui a dit ça et quand ? Henri DURIF, le truculent auteur du Guide du voyageur dans le département du Cantal paru en 1860. Tout est dit ici. Regardez bien les éoliennes là où elles ont déjà été implantées. Elles tournent peu, très peu. 23 % du temps ! (Statistiques officielles reconnues par le lobby éolien). Et quand elles sont à l’arrêt, le stockage de l’électricité n’étant pas maîtrisé, on doit faire tourner les centrales thermiques à même de répondre quasi immédiatement à toute demande. On le sait, ces centrales fonctionnent au gaz, au fuel ou au charbon. Nos voisins en savent quelque chose, eux qui, sous la pression de leurs « verts » empuantissent tout le nord de l’europe avec les fumées dégagées par la combustion du lignite qui là-bas abonde, qui en fait les 3èmes pollueurs au rang mondial après la Chine et les Etats-Unis.
Force est de constater que l’installation des éoliennes se fait dans la plus parfaite désinformation puisque quantités de contre-vérités sont répandues, colportées sans retenue par toutes sortes de gens victimes de la constante propagande écolo-bobo qui ne saurait amuser quiconque ouvre un tout petit peu les yeux. Le marché roi qui s’acharnant à faire circuler les marchandises, leur faisant faire un tour du monde permanent, affrétant avions et bateaux en nombre toujours croissant, ne serait-il pas porteur de responsabilités ? J’aime ma planète ; je lutte contre le réchauffement. Je suis bête et récite le catéchisme écolo-bobo qu’il est interdit de contester … Cependant, certains commencent à parler, bravant la dictature des sots. Ainsi, la climatologue américaine Judith CURRY qui n’hésite plus à démontrer la vérité des faits et contrarie de la sorte les plans des ces financiers du vent qui mènent présentement notre monde périphérique (le pays des péquenots incultes incapables de réflexion, etc … Air connu.)
Il est urgent d’organiser l’information des populations. Le mouvement s’amplifie. En témoignent les deux magnifiques réunions organisées par l’ association naissante : Vent d’Amarugue, à Siran et Glénat où, pour chacune d’elles, une centaine de personnes s’étaient déplacées. Car la demande d’informations est grande.
Soyons lucides : « Comme il arrive si souvent dans l’histoire moderne,des réformes présentées comme un sommet du progrès moral réduisent en réalité les droits du citoyen ordinaire. » Christopher LASCH. Et réagissons.
En suivant, nous reviendrons sur quelques autres phénomènes d’intox en cours. Le compteur LINKY, bougres de navets, c’est moderne et c’est bon. Le glyphosate, fabuleux couillons, ça n’a jamais provoqué le moindre cancer même chez le plus bête des paysans, nous dit le Président de la Ligue départementale contre le … cancer. Quelques bons sujets qui n’ont pas fini de nous occuper. A suivre …
JCM
Silence on meurt
Fleuron de l’industrie vicoise, témoin du savoir faire cantalien et gros pourvoyeur d’emplois dans le bassin de la Cère, l’entreprise Pyram, n’en finit pas d’agoniser sous les coups de boutoirs financiers. Dernier avatar, un accord salariat /patronat sur le temps de travail (la CGT a voté contre), qualifié de pourri et d’enfumage (journaux « La Montagne » du 28 juillet et « l’Union du Cantal » du même jour), par le syndicat Force Ouvrière. Fini les « 35 heures », on passe à un temps de travail modulable, jusqu’à 42 heures max par semaine. Les conditions du vote ont de quoi surprendre. Selon un salarié présent, un représentant syndical a demandé à ceux qui étaient pour, de se placer à droite et à ceux qui étaient contre, d’aller à gauche (vieille tradition républicaine, à l’origine de ce qu’on appelle, la gauche et la droite). Ce procédé n’eut pas l’heur de plaire. Il fallut fabriquer une urne en carton et distribuer des bouts de papiers sur lesquels chacun a pu s’exprimer « secrètement » donnant de quelques voix la majorité à l’accord exigé par la direction.
Comment est-on arrivé, d’une entreprise prospère, quand elle fut achetée par le groupe « Néoform », à une entreprise en redressement judiciaire, gérée par le cabinet spécialisé « Prosphère » ?
Syndicats et salariés se sont longtemps tus. En octobre 2016, pourtant, Jean-Vincent Boudou secrétaire général UDFO et Jean-Claude Mollard de la CGT, accompagnés de quelques militants proposaient sur le marché vicois, une pétition intitulé « Les Pyram se cachent pour mourir ». Ils affirmaient que : « Depuis le mois de juin (2016), les délégués du personnels proposent des mesures concrètes (départ volontaires, retraites anticipées, carrières longues ou pénibles), pour éviter les licenciements « secs », mais se heurtent à un mur de refus ! ».
En septembre 2015 pourtant, tout semblait aller pour le mieux, dans le meilleur des mondes commerciaux. Jean-Michel Daron, président du groupe « Néoform participations » organisait à Vic (Château de Vixouze) une convention réunissant 80 clients (revendeurs/agenceurs), venus de toute la France et les principaux fournisseurs de la marque. On vantait ici un réseau professionnel comprenant 135 points de vente (en augmentation de 20% sur deux ans et demi). La visite de l’usine, fut l’occasion d’enfoncer le clou de l’attachement des dirigeants au territoire cantalien et d’afficher leur volonté de se développer sur place…
Mais l’eau a coulé sous les ponts de la Cère et quelques « errements » ont enfoncé l’entreprise dans la fange. Exit Jean-Michel Daron (mais a-t-il conservé des actions) ? Bonjour « Prosphère » cabinet spécialisé en redressement d’entreprises. Depuis, qu’ils opèrent, Pyram a vu deux plans de «sauvegarde» diviser par deux les effectifs, alors que dans le même temps, les déficits ont quasiment triplé et les ventes baissé.
Difficile d’avoir des faits précis et des témoignages concrets assumés, sur ce qui semble lié à la fatalité. Pourtant en écoutant « radio bistrot » les rumeurs vont bon train. Florilège : D’aucuns prétendent que le but du cabinet de redressement serait de s’approprier les brevets, les clients, puis de couler l’entreprise vicoise et vendre à l’encan ce qui reste des murs, des machines et des terrains. Des machines, en pleine forme, auraient été démontées à Vic et envoyées à Cholet (siège de Néoform). L’une se trouverait aujourd’hui sur le site de vente d’un ferrailleur récupérateur. Des fixations murales remplacées par d’autres, au nom de la standardisation et de l’économie, auraient provoqué des chutes de meubles chez les clients et augmenté le coût du service après vente. Des emplois administratifs seraient supprimés à Vic, alors que dans le même temps il aurait été procédé à des embauches du même type à Cholet (voire à une externalisation du travail fourni). Des «conseillers coachs» surpayés, dispenseraient à Vic leurs savoirs en termes d’organisation du travail : plus de chefs, mais de petits groupes baptisés « micro usine » où les salariés se contrôlent et se surveillent les uns les autres, comme dans un mauvais mélange des pires théories « socialistes » (de l’ex URSS, de la Chine du regretté Mao, ou des biens aimés et si clairvoyants « Khmers rouges »), avec les idées actuelles (bien de chez nous), des premiers de cordée 2.0. Cette subtile alchimie, entretenant une ambiance «exécrable» entre les salariés.
Rumeurs, bien-sûr que tout le paragraphe précédant. Il n’y a là dedans, chers lecteurs, rien de vrai ! Seulement des menteries proférées par des jaloux malfaisants ou avinés (ou les deux).
Du côté des élus, c’est le silence qui prévaut. Michel Albisson, président de la Communauté de communes Cère et Goul en Carladès, contacté hier (30 juillet), ne souhaitait pas faire de déclaration avant la décision du tribunal de commerce. Quant à Dominique Bru, maire de Vic, si elle s’est affichée en allant en 2016 à la rencontre des syndicats (lors de leur action sur le marché vicois) et leur apportant son soutien, en mettant une motion à l’ordre du jour de plusieurs Conseils municipaux, elle ne souhaitait pas non plus s’exprimer (à l’heure où ces lignes sont écrites), un communiqué commun des élus de Cère et Goul (qui a reçu les représentants syndicaux), devant être sous peu présenté… Attendons, donc, pour voir !
À la décharge des élus, que peuvent-ils bien faire dans ce qui est une affaire commerciale d’ordre privée ? Quand un dirigeant s’achète une entreprise, il la gère comme bon lui semble, pour son meilleur profit. Si la loi n’est pas enfreinte, qu’y peuvent les élus ? Ah oui, parler, afficher leur détermination, montrer les dents, s’indigner ? Mais ils n’ont, jusque là, pas osé. Sûrement (comme le leur suggérait la direction de Pyram), pour ne pas pénaliser plus encore la réputation souffrante de l’entreprise et lui faire perdre encore plus de clients. Finalement, la pétition initiée en 2016 par FO et la CGT « Les Pyram meurent en silence » n’usurpait pas son titre !
Serge Menini
Et alors ?!?
En pleine tourmente, François Fillon avait lancé un « et alors ?!? » qui voulait tout dire. Le « 1er de cordée » de la Droite n’avait que faire de l’opinion publique. On connaît la suite…
Depuis la prise du pouvoir par Emmanuel Macron, les « j’assume, circulez, y a rien à voir » sont devenus l’argument suprême. L’élu, quel que soit son rang, surtout s’il aime marcher, serait au-dessus du sens commun. L’exemple venu d’en haut conforte nombre de nos politiques locaux qui fustigent toute discussion non consensuelle. Ils oublient tout simplement qu’un 1er de cordée sans « encordés » ressemble à rien et que des encordés sans corde, tressée par des gens pris pour rien, passent pour des moins que rien…
Quarante ans plus tôt, à l’évocation de l’avenir du département, l’image du camp d’indiens retranchés dans le volcan cantalien revenait régulièrement dans les conversations. Le salut viendrait de la manne touristique, des visiteurs tombés amoureux du Pays vert.
Aujourd’hui, certains y croient encore et le Lioran, condamné, climatiquement, à disparaître en tant que station de ski à court terme engloutit des millions d’euros tous les ans.
Destruction de milliers d’exploitations, baisse des ventes du fromage made in Saint Mamet ;
l’agriculture est toujours entre les mains des mêmes, les « majoritaires de la FDSEA. En totale contradiction avec toute politique d’attractivité touristique, des projets de champs éoliens, dont un avec la star du syndicalisme agricole majoritaire, germent comme des champignons. Mais à Coltines un projet de création d’usine d’exploitation de l’eau minérale, avec création de dizaines d’emplois, est bloqué par la FDSEA. Et alors ?
Comment redonner son attractivité au centre-ville d’Aurillac ? Aménager, en plein désert rural, un Carrefour à la Sablière, supprimer la voiture et demander à la population vieillissante de se déplacer à vélo. Au cœur de la réflexion ? Faire de la préfecture du Cantal un hypothétique attrape-bobos… en espérant qu’ils transporteront dans leurs valises les emplois qu’on oublie de préserver ou de créer. Et alors ?
Depuis des décennies les collectivités, de droite et de gauche, nous bassinent avec leurs formidables politiques de développement : aujourd’hui elles pleurnichent pour être reconnues en état de catastrophe économique et sociale. Et alors ?
Toute la Droite locale soutenait Fillon et ses 100 milliards d’économies, ses 300 000 suppressions de fonctionnaires. Elle se lamente des 30 milliards d’économies et des 120 000 suppressions de fonctionnaires imposés par Macron qui promet plus de contrôles avec moins de contrôleurs. Et alors ?
Art de transmettre la patate chaude.
Du Marleix tout craché. Un député de la France, élu dans la 2ème circonscription du Cantal, considère qu’il n’a pas à s’occuper du problème d’un électeur cantalien « étranger » à « sa » circonscription et renvoie son interlocuteur vers le député de la 1ère circonscription.* Il n’a donc strictement rien compris à la mission d’un député, ce qui ne nous surprend pas. Et alors ?
* Bony renvoie Dupont vers Descoeur pour gérer une question totalement indépendante du rôle d’un député, voir en haut à droite de cet article.
Bernard Bonhoure.
lapierre 08.08.2018 19:19
pas de nucléaire, pas de centrale à charbon, pas d'éoliennes ?? sans être provocateur quoi faire,??? déjà économiser mais cela est un autre sujet
l'idiot 09.08.2018 12:38
Bonjour
L'économie, comme vous le remarquez semble la solution adaptée. Mais qui ira expliquer aux peuples "émergents" qu'il faut ne pas vivre comme nous ?
Pierre Mestries 08.08.2018 05:45
Très content de vous retrouver!
Merci de vos commentaires et des nouvelles non connues de la Pravda locale!!
A vous relire..
L'Idiot 07.08.2018 13:19
Le silence des élus couvre bien des misères et provoquera comme il l'a déjà fait des secousses regrettables. l'histoire à le "hoquet"! Le pire reste à venir !
mommalier 07.08.2018 10:41
merci merci merci de continuer
pour l'esprit, le culot, la pertinence l'impertinence et tout le reste....
Bernard M
La Malepeste 07.08.2018 10:37
Voilà une nouvelle qu'elle est bonne!
JOSS PATIER 07.08.2018 09:59
BRAVO POUR LA REPRISE ......CONTINUEZ....
Commentaires
20.07 | 23:56
Du bon boulot de journaliste. J'applaudis des 2 mains ! Et j'en redemande.
26.03 | 18:58
Tellement vrai, bien vu. Merci
10.03 | 15:54
Heureusement il y a aussi une majorité de bonnes volontés même si notr...
09.03 | 12:23
Je découvre votre site, bravo j'arrive de la banlieue Parisienne, installé de...