Avant de passer à l'actualité du moment
retour à la barraminothérapie.
Episode 2/4
(Décidé à en finir avec sa sale vie, Germain part en montagne pour une dernière randonnée à la recherche d'une falaise maléfique mais un vulgaire bout de ferraille vient perturber ses plans.)
En sortant du bois, il aperçut la « rille » oubliée sous les fougères. Une sorte de barre à mine en plus court, servant à faire un avant trou dans le sol, pour planter les piquets de clôture, ou de levier pour déplacer troncs et rochers. Dans sa simplicité, sa rusticité, elle lui ressemblait. Forgée aux temps anciens, légèrement émoussée aux pointes, à peine rouillée, protégée sans doute par la graisse et l’ADN agricole des générations de mains calleuses qui l’avaient manipulée. La prenant en main, il ressenti une communion de tendresse avec elle. La barre à mine vivait, il en fut certain. Elle avait connu les vachers, les petits pâtres, les fillettes gardant les troupeaux, le folklore. Elle avait vu les bœufs tirant les chars de foin, puis les tracteurs et les jeunes surnuméraires partant à la ville. Elle en avait vu quelques-uns revenus riches, retaper une grange en maison de vacances et connu tant d’autres, restés dans leur banlieue.
Au moment où il la plantait en évidence au bord du sentier, afin qu’un jour son propriétaire la retrouve, il entendit le crescendo des moteurs. Un troupeau de promeneurs escaladait la montagne, en quads et motos tout terrain. Des « sportifs » massacrant le sentier dans le bruit et la fureur. Des conquérants de l’inutile, modernes aventuriers équipés de téléphones portables, qui vont sans hésiter jusqu’au bout d’eux-mêmes et puis, appellent ensuite pour qu’on vienne les chercher. Germain arracha la barre de fer. Dans sa tête, naquit spontanément une bluette, sur l’air ancien d’une publicité vantant les mérites d’une tisane, supposée bonne pour le foie : « La barre à mine, la barre à mine vous relève de tous vos tracas, la barre à mine, la barre à mine, la bonne solution à tout ça » !
Dressé à l’orée du bois, il fermait le passage. Le premier motard réussit à stopper en dérapant. « Non mais ça va pas, vous êtes malade, j’ai failli tomber » ! Les autres s’arrêtent. Un qui semble le chef, grimpe le talus doublant tout le monde et se pose devant l’homme debout, l’homme qui n’attend rien, mais sent monter en lui une force métallique, comme un courant électrique, transmis par la tige en ferraille. « Ho, faut vous pousser ! Bon, tu dégages maintenant». Se retournant vers la troupe : « Allez, on contourne ce con ». Deux coups d’accélérateur, la main gauche appuie l’embrayage, un coup de pied sur le levier de vitesse enclenche la première, la main droite tourne la poignée des gaz, la gauche s’ouvre brusquement. La moto cale. « Pousses toi, sinon je t’écrabouille ». D’autres avancent l’air mauvais. « Tires toi connard, les chemins sont à tout le monde ». Animée d’une vie propre, la barre d’acier soudain fend l’air et vient arracher le guidon des mains du gueulard. Le phare se répand. Un coup de plus, la fourche est tordue. Puis, c’est le réservoir du suivant qui éclate. L’essence éclabousse à la ronde. La fête continue, c’est maintenant un quad à trois roues qui essuie la tempête. « La barre à mine, la barre à mine vous relève de tous vos tracas ! Perte du sens de l’orientation ? La barre à mine. Connerie insondable ? La barre à mine. Je vais vous soigner, je m’en vais vous guérir moi ! Vous apprendre politesse, respect de la nature et des autres. Vous finirez bien par comprendre »… « Il est fou, ce mec ». C’est panique et sauve qui peut, chacun pour soi. Un quad grimpe le talus, se renverse sur deux motos. « La barre à mine, la barre à mine la bonne solution à tout ça ». Puis le rire, incontrôlable, dément qui éclate et la barre à mine continue de tournoyer, frapper, casser. « T’en as pas assez ? En voila du bonheur, de la joie, de la liesse, du sport. Ha, vous vouliez m’écrabouiller, me réduire. Et si je plante la ferraille dans le pneu, tu te dégonfles ? Trouduc, mal élevé, sinistre. T’en voulais des sensations, de l’aventure à quatre sous ! Ben n’en v’la, mal poli. La forêt te remercie, la nature t’aime et moi aussi».
Oubliée l’envie de mourir, envolés les soucis. Une sensation de bien-être, le fait avancer en cognant. En une minute, il ne reste personne, le groupe a filé. Certains courent à travers bois. Quelques autres pétaradent plus bas, en s’éloignant. Autour de lui, les oiseaux reprennent leurs chants. Dans ses mains, la barre à mine irradie une douce chaleur, comme un espoir, il en est sûr ! L’une des motos n’a pas trop souffert. A la première sollicitation, le moteur repart. Glissant la barre de fer dans une sacoche, Germain part rejoindre la civilisation, bien décidé à continuer sa tâche nouvelle de porter un message d’espoir. Il va guérir le monde de ses maux. Le messie revient, il est tout amour, mais cette fois, il est armé. Surpuissant phallus, la barre à mine féconde va réaliser de grandes et belles choses et tous se prosterneront devant elle. Adorez la sainte barre à mine, celle qui soigne et qui guérit.
A suivre
Serge Menini
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
Gilets jaunes :
les responsables ne sont pas qu’à Paris
Le mouvement des « Gilets Jaunes » (les « G.J. » ?) rejette mais mobilise toute la classe politique. Quelques « grandes » voix de la sphère audio visuelle s’en donnent à cœur joie. La palme revient certainement à Christophe Barbier. L’homme à l’écharpe rouge s’est autorisé à faire la leçon à un Gilet Jaune : la nomination d’un général comme 1er ministre serait un coup d’État sous prétexte que le général en question n’a jamais été élu. Il est où l’article de la Constitution qui précise cette affirmation? La proposition du Gilet Jaune peut paraître saugrenue, la réaction de l’Écharpe Rouge disqualifie son auteur à occuper toute antenne nationale.
Au-delà d’un cas personnel, c’est toute la classe médiatique qui pourrait s’interroger sur ses méthodes. Les réseaux sociaux ? Le pire et le meilleur : l’enfumage de ceux qui savent va finir par tomber, la communication propagande va s’écrouler, aujourd’hui tout citoyen qui veut bien s’en donner la peine peut tout savoir.
Localement, dans cette crise, nos « élites » ne sont pas blanches comme neige. Avec le SMOCE, les sommets sont atteints. Jean-Pierre Dabernat, président, vient de confirmer dans "La Montagne" qu’il ne voyait pas pourquoi il ne toucherait pas ses indemnités tout en reconnaissant qu’il n’aura plus rien à faire puisque l’usine à gaz installée pour gérer le traitement des déchets sera fermée au 31 décembre. Motif : il a été élu et il gérera les affaires courantes, s'il y en a ?! Question : les membres du SMOCE, qui l’ont élu, vont-ils laisser faire, alimenter ainsi le rejet de la classe politique… et la détermination des Gilets Jaunes ?
Photos d'illustration prises l'après-midi du 4 décembre au Rond-Point de Géant Casino à Aurillac.
Autogestion à tous les étages dans la hutte gauloise.
Sérieux dans les contacts avec l'extérieur : sans gilet jaune sur le dos, obligation de s'expliquer avec le responsable sur les raisons d'être passé faire quelques photos. Un marcheur venu faire la leçon s'est vu renvoyé à ses chères études la semaine passée.
Plusieurs projets en cours, vendredi et samedi prochains les guirlandes de Noël ne seront pas les seules à animer Aurillac.
Bernard Bonhoure.
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
Mon journal pendant la drôle de révolution (2)
De l’ampleur des manifestations de ce samedi 29 novembre, nul n’est encore revenu. De toute évidence, le mouvement qui traverse la société française est beaucoup plus important que reconnu par les « élites » mondialisées. Un impératif : le gouvernement doit urgemment réagir s’il veut tenter de calmer le jeu et revenir sur différentes points susceptibles de contribuer à l’apaisement du peuple maintenant en rage, notamment : tout d’abord, rétablir l’impôt sur la fortune et annuler la hausse des carburants programmée pour janvier prochain comme revenir sur la ponction de CSG sur les petites retraites. Tout cela fait la plus grande unanimité. Dans d’autres domaines, en vrac : supprimer la limitation à 80Km/h ; arrêter de fermer écoles, maternités, hôpitaux, bureaux de poste, trésoreries, services préfectoraux (services des cartes grises, notamment) – En un mot, tout ce qui caractérise le bonheur made in France périphérique dûment labellisé par les apprentis-sorciers de la République en marche. Et encore, fermer les 1 600 agences gouvernementales qui ne servent à rien d’autre qu’à placer des copains (salaires, logements, voitures, etc ...) pour le prix modique et global de 18 milliards d’€ !!! Invraisemblable et pourtant lu et entendu un peu partout dans la presse ces jours-ci. Ou encore, conduire la chasse réelle aux fraudeurs fiscaux ; tenir la dragée haute aux multinationales installées ici qui ne payent pas ( ou pratiquement pas) d’impôts quand ils contribuent à ruiner strictement le commerce national. Quant, par exemple, on voit les grandes collectivités locales (régions, départements) se disputer pour accueillir et faire des ponts d’or au géant américain Amazon, lequel s’est dorénavant fait une spécialité de former des « piqueurs » (préparateurs de commandes), spécialistes de la course à pied en entrepôts, payés des cacahuètes. Ce serait un début et le débat public pourrait, à cette faveur et très facilement, rouvrir.
Mardi 27. Matin. Le Président de la République s’exprime devant quelques 2 000 élus municipaux. Il ne bougera pas. Rien à faire. Il tiendra la ligne. Ah ! Mais. On a droit à une séance de pédagogie active. Jugés par lui trop bêtes, il prend soin de nous expliquer tout ce que l’on doit penser, ressentir. C’est affligeant. « Il faut réformer, encore et encore » nous répètent à l’envi les théoriciens du changement. N’en a-t-on pas subi des réformes, et, principalement, des pas indispensables ? Considérer comment, par exemple, ils ont saccagé l’organisation territoriale judicieuse de notre beau pays en s’évertuant à éloigner tant que faire se peut la population rurale de ses représentants. Il faudrait, pour tenter de s’en sortir, en finir avec les intercommunalités et les régions. Aucune économie d’échelle réalisée, aucune, jamais, nulle part. C’est bien par là qu’il faudra commencer quand on se mettra en tête de reconstruire le pays.
Tout ce qu’il a donc pu dire ce mardi n’aura servi qu’à exciter un peu plus la population. Et absolument rien d’autre. Pour éviter de se manquer, de bien se faire comprendre, il juge bon de s’adresser nouvellement aux classes laborieuses, vous savez, les fameuses classes « dangereuses » !?!? Carton plein et bilan immédiat dès l’après-midi : les mots d’ordre sont lancés et on se retrouvera aux Champs-Elysées samedi prochain.
Samedi 1er décembre
La fête commence deux heures plus tôt que la semaine passée : 1ères grenades tirées dès 9 heures ! Drôle de méthode. Nombreux gilets jaunes sont rendus comme fous. Castaner se pense très malin qui accuse tout le monde de manipuler la révolte. Chikayas obtenues à tous les étages, avec certitude. Et on l’a vu, le bilan visionné en soirée sur toutes les chaînes de télévision le démontre amplement.
Dimanche 2.
Macron de retour d’Argentine se rend avenue Kleber. Entouré de 1 000 policiers voire plus dont un grand nombre a le regard fixé sur les étages (crainte de snippers?), le spectacle génère le malaise, profond. On repense malgré soi au retour de Khomeiny à Téhéran le 1er février 1979. On sait ce qu’il est advenu du Shah. Sentiment exagéré ou pas, le pouvoir semble bien être sur le point de tomber. Par inconscience, par incompétence, n’est-on pas devant, ce que dans la soirée Emmanuel Todd appelle sur une chaîne de télévision : le déploiement de la stratégie du chaos ?
Lundi 3.
Ils sont nombreux, dès ce matin, à annoncer un nouveau samedi « chaud », le 8. Plusieurs syndicalistes « policiers » disent ouvertement que la police ne résistera pas à un acte IV et sera submergée. Il est certain que la crise ne se résoudra pas comme par enchantement. Macron a les cartes en main et c’est à lui seul de les jouer. Mais enfin, n’y a-t-il personne autour de lui pour le ramener à la raison, simplement lui restituer ce qu’un autre avait su glisser à l’oreille de son roi un certain 14 juillet :
- Non, Sire, c’est une révolution ! ».
Et il ne s’agit plus, comme le font certains dans la galaxie en marche, d’ergoter sur le nombre de manifestants, toujours ramené à la baisse quand, de toute évidence, le bon peuple soutient l’insurrection. Tous ces retraités bien sûr pas à même de courir donc absents des cortèges, qui sont cependant bien présents, dans leur cœur, pour accompagner le mouvement. Ça fait au total beaucoup de monde.
Plus que jamais, à suivre …
J.-C.M.
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
Qu’ont à voir,
le sens des mots et le sens du vent ?
Un vent de colère, agite la rue. Certains prennent le train en marche («en marche» hi hi hi), sans payer de billet : des casseurs, venus se livrer à leur passe-temps favori. Des politiques qui enfilent un faux nez et s’auto-proclament porte-parole d’un mouvement presque spontané, mais qui peine à s’organiser. Toujours est-il que le mécontentement comme une crue déborde, passe les rives, flue et reflue. Allez donc canaliser une crue, un tsunami !
Pourtant, s’il veut survivre et ne pas se faire balayer dans le mépris, des mots et des maux dont on l’accable, il faudra bien que le mouvement s’organise. Tout reste à inventer, ici, de la démocratie. Peut-être des mandats électifs, sinon courts, du moins révocables facilement. Les revendications qui montent vers les sommets où siègent, Jupiter et ses dieux (et déesses, parité oblige), plus une litanie de « sachants » souvent déconnectés de la réalité, n’en auront que plus de poids.
Un détail a une importance mortelle, pour le « petit » peuple dont je suis : Il faut gagner la bataille des mots, dont nos dirigeants connaissent l’importance, puisqu’ils en changent le sens. Exemples : les cotisations sociales, devenues des « charges sociales ». On peut accepter de payer de bon cœur une cotisation pour être mieux protégé, il est plus difficile d’admettre une charge ! Pourtant, sans cotisations sociales, pas de social. Et not’ bon maître de nous faire remarquer, que par sa grâce, elles ont baissé sur la fiche de paie. Idem, les salaires devenus des « coûts salariaux ». Avant on employait un quidam pour faire un boulot, ce travail rapportait de l’argent, en contre-partie, on versait un salaire à l’employé. Avec les «coûts salariaux», on occupe des inutiles, qui en plus… coûtent ! Facile d’en tirer des conclusions simples. Un autre : Les plans de licenciements du passé, devenus des « plans de sauvegarde de l’emploi » (P.S.E.). Ceux qui naguère s’opposaient à un plan de licenciement ont-ils envie d’attaquer, voire simplement de dénoncer, un plan de sauvegarde de l’emploi ? Pas moi.
Pour changer le sens d’un mot, il suffit parfois de lui ajouter un qualificatif. Que peut bien signifier la « laïcité positive » du regretté Nicolas Sarkozy, ou sa fameuse règle « d’or » ? Et la République, quand elle est dite « populaire », comme en Chine ou « démocratique », comme dans l’ex-Allemagne de l’Est ou « islamique », comme en Iran ? Est-ce encore la République, la « res publica », la chose publique ? Et la fiscalité «écologique» dont les bénéfices ne vont jamais à l’écologie. Comme autrefois la vignette « pour les vieux », dont ils ont vu la couleur (changeante années après années sur les pare-brises), mais pas la queue d’un fifrelin ? Les mots et leur sens ont une immense importance. Si une chose existe ; c’est qu’il y a un mot précis pour la désigner. Sinon, elle n’existe pas !
Il y en a mille et plus, de ces mots dont le sens est petit à petit changé, pour le plus grand bonheur des manipulateurs de tous poils.
Que penser des « EDL », les trop fameux « éléments de langages », pondus par des armées de « conseillers » (bien payés) et dont les politiques nous abreuvent ensuite ? Enfants de la bonne vieille « langue de bois », ils servent ce qu’à « Testu », on nomme « l’enfumage ». Faire un écran pour cacher la vérité des faits. Mais les faits sont têtus, ou « testu », si vous enlevez l’accent circonflexe pour revenir à l’ancien français « teste », ou même au latin « testa » (pot en terre cuite, brique, tuile), toutes choses censées solides par ailleurs.
« Il faut laisser le peuple dans l’ignorance », aurait dit un penseur. Victor Hugo notait : « La liberté commence où l’ignorance finit ». Aldous Huxley écrivait : « La victime de la manipulation mentale ignore qu’elle est une victime. Les murs de sa prison lui sont invisibles et elle se croit libre ».
La colère (débarrassée des qualificatifs « saine », « juste », « populaire », « populiste »), qui s’exprime aujourd’hui, est peut-être le nom d’une volonté de ramener sur terre, au sens des réalités et des mots qui les désignent, nos modernes dieux de l’Olympe.
Serge Menini
l'Idiot 07.12.2018 14:30
Ah ! Testu. Il faut faire circuler votre adresse. Merci Bernard, pour tes fouilles dans les ordures du SMOCE. Merci J-C Muet pour ton style. Merci Serge aussi !
MARY LAMARCHE 07.12.2018 10:53
MERCI SERGE POUR CES MOTS CONTRE LES MAUX QUE NOUS SUBISSONS TOUTES ET TOUS PAR LA DICTATURE INSTAUREE PAR CE DETRITUS DE ""ROI"" ACCOMPAGNE PAR SES SINISTRES
JM Lengagne 06.12.2018 18:13
notre ami Serge,
De la barraminotherapie à la" barre à maux", moult mots sont toujours bienvenus.
JM
SCHAFF Jean Louis 06.12.2018 00:11
Merci Serge, votre plume pour "TESTU" me permet de mieux vous connaitre et de vous apprécier.
Serge Menini 06.12.2018 09:35
Merci de ce commentaire sympathique. Je suis ouvert aussi aux critiques, quand il le faudra... Amicalement Serge
Bonnet M 05.12.2018 23:05
comme toujours vous nous servez des bons plats de résistance, ça fait du bien ...au cerveaux! merci
Commentaires
20.07 | 23:56
Du bon boulot de journaliste. J'applaudis des 2 mains ! Et j'en redemande.
26.03 | 18:58
Tellement vrai, bien vu. Merci
10.03 | 15:54
Heureusement il y a aussi une majorité de bonnes volontés même si notr...
09.03 | 12:23
Je découvre votre site, bravo j'arrive de la banlieue Parisienne, installé de...